Fujicolor : je garde toujours mon vieux Yashica, acheté à Palerme pour une bouchée de pain, chargé d’une pellicule couleurs. Ce n’est pas ce que je préfère dans l’argentique mais ça me permet de faire de petites photos souvenirs, un peu plus touristiques que celles que je ferais avec le Leica. Avec l’hiver, les lumières qui fuient dès le milieu de l’après-midi et annoncent le début de la longue nuit, mettent en valeur ces paysages nippons dont j’avais tant rêvés depuis plus de vingt ans.
Récit complet de ces deux mois passés au Japon à lire dans le Carnet de route.
Yashica T3 + Fujifilm 200 - fin 2024